fermedagobert

Notre exploitation en qualité "BIO"

nos produits biologiquesLa FERME DAGOBERT, au cœur du Parc Naturel Régional des Baronnies Provençales, est une exploitation en agriculture biologique ainsi qu’une ferme auberge.
Nous vous proposons toute l’année en vente directe de la viande d’agneau et de porc plein air, de la charcuterie et des salaisons sans sel nitrité, du Petit Epeautre de Haute Provence ainsi que des pâtes sèches à la farine de Petit Epeautre de Haute-Provence, le tout fabriqué à la ferme.

nos produits biologiquesLa FERME DAGOBERT vous porpose toute l’année en vente directe de la viande d’agneau et de porc plein air, de la charcuterie et des salaisons sans sel nitrité, du Petit Epeautre de Haute Provence ainsi que des pâtes sèches à la farine de Petit Epeautre de Haute-Provence, le tout fabriqué à la ferme.

Petit Épeaute de Haute Provence (PEHP)

petit épautre de haute provence
Nous cultivons 3 à 5 ha de Petit Epeautre de Haute-Provence en IGP sur les plaines de Sainte-Jalle.

Cette céréale antique a été remise en avant grâce au travail de quelques agriculteurs il y a maintenant presque une vingtaine d’années. Qui sont les pionniers de la reconquête du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Ils ont œuvrés pendant plusieurs années auprès de la commission européenne à la création de l’IGP « Petit Epeautre de Haute-Provence » aujourd’hui reconnu et apprécié.

Ce label impose un cahier des charges de production aux agriculteurs (notamment une rotation des cultures, une altitude de minimum 400m, …) et garantit au consommateur un produit contrôlé et fiable. Le cahier des charges est consultable sur le site du Syndicat du Petit Epeautre de Haute Provence.

Pour bénéficier de l’IGP, les agriculteurs adhèrent au Syndicat du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Par ailleurs, il s‘avère que pour le Petit Epeautre de Haute-Provence la majorité des agriculteurs adhérents sont en Agriculture Biologique.

Nous proposons cette céréale en vente à la ferme et en ligne ainsi que cuisinée à l’auberge.

Depuis 2014 et la création du laboratoire de transformation, nous produisons des pâtes sèches à la farine de Petit Epeautre de Haute-Provence (Tagliatelles, torsades, rigatoni) que nous commercialisons en vente directe à la ferme ainsi qu’au magasin de producteurs
« La Biasse Paysanne » à Nyons, sur les marchés et foires et salons auxquels nous participons.

Petit Épeaute de Haute Provence (PEHP)

petit épautre de haute provence
Nous cultivons 3 à 5 ha de Petit Epeautre de Haute-Provence en IGP sur les plaines de Sainte-Jalle.

Cette céréale antique a été remise en avant grâce au travail de quelques agriculteurs il y a maintenant presque une vingtaine d’années. Qui sont les pionniers de la reconquête du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Ils ont œuvrés pendant plusieurs années auprès de la commission européenne à la création de l’IGP « Petit Epeautre de Haute-Provence » aujourd’hui reconnu et apprécié.

Ce label impose un cahier des charges de production aux agriculteurs (notamment une rotation des cultures, une altitude de minimum 400m, …) et garantit au consommateur un produit contrôlé et fiable. Le cahier des charges est consultable sur le site du Syndicat du Petit Epeautre de Haute Provence.

Pour bénéficier de l’IGP, les agriculteurs adhèrent au Syndicat du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Par ailleurs, il s‘avère que pour le Petit Epeautre de Haute-Provence la majorité des agriculteurs adhérents sont en Agriculture Biologique.

Nous proposons cette céréale en vente à la ferme et en ligne ainsi que cuisinée à l’auberge.

Depuis 2014 et la création du laboratoire de transformation, nous produisons des pâtes sèches à la farine de Petit Epeautre de Haute-Provence (Tagliatelles, torsades, rigatoni) que nous commercialisons en vente directe à la ferme ainsi qu’au magasin de producteurs
« La Biasse Paysanne » à Nyons, sur les marchés et foires et salons auxquels nous participons.

Nos brebis & agneaux


Actuellement notre troupeau comprend 300 brebis de race MOREROUS

La mourérous (« tête rousse » en provençal) est une race ovine des Alpes du Sud. Les éleveurs l’appellent communément « la rouge » par opposition aux races présentes dans la même zone, Préalpes du Sud ou Mérinos d’Arles. On la nomme également « Rouge de Guillaumes ».

Reconnaissable à sa tête et ses pattes rousses très caractéristiques, la Mourérous est plutôt grande et bien lainée.

• La mourérous a des origines partagées, et pourrait selon diverses hypothèses descendre de souches des Alpes et de souches issues d’Afrique du Nord.

Menacée de disparaître à un moment, la race est reprise en main à partir de 1977 par une action conjuguée entre l’Établissement départemental de l’élevage et la Fédération des éleveurs ovins des Alpes-de-Haute-Provence. Elle est maintenant sauvegardée.

• Elle connait un regain d’intérêt pour sa rusticité, sa résistance au froid comme à la sécheresse, son aptitude à la marche en montagne, son bon comportement maternel et sa bonne tolérance aux transitions alimentaires bergerie/pâturage.

• L’aptitude de la race à entrer en gestation pendant toutes les saisons de l’année (dessaisonnement) est souvent utilisée dans les élevages.

Notre troupeau pâture sur les collines de Rochebrune et les plaines de Sainte-Jalle, en système extensif, c’est à dire toujours en extérieur sauf conditions climatiques difficiles (les brebis craignent davantage les fortes pluies que le froid) et mise-bas. Alors seulement nous les rentrons en bergerie.

Notre troupeau est souvent divisé en plusieurs lots, selon differents paramètres : prêtes à mettre bas, en lutte (moment d’accouplement) ou jeune adulte…..

La surface de pâturage est d’environ 200 ha et est constituée de terres en propriété mais également de fermages ainsi que d’accords verbaux.

L’alimentation : pâturage ,fourrage, luzerne et orge selon leurs besoins : en gestation, allaitantes ou en « période de repos ».

En juin, tout le troupeau transhume sur les hauteurs de Valloire, en Savoie et y reste jusqu’en octobre. Il est alors gardé par les parents de Dagobert, qui veillent à les préserver du loup et à leur choisir le meilleur herbage.

La tonte de notre troupeau s’effectue une fois par an, au début du printemps, en mars.

Cette tâche est une affaire de famille car Dagobert, ses parents, son frère et deux de ses sœurs sont tondeurs de métier.
Ce moment de l’année est marqué par la convivialité et l’entraide et se termine toujours autour d’un bon repas partagé ensemble.
En France, la tonte se pratique à différents moments de l’année selon les régions et la gestion du troupeau.

La tonte reste destinée au bien-être animal. Quand elles restent en bergerie, les brebis une fois tondues sont plus à l’aise. C’est également la meilleure manière de réduire les parasites.

Élevage en plein air

Alimentation : provenance et caractéristiques

Alimentation à base d’herbe ou autres fourrages, alimentation à base de céréales
Produite sur mon exploitation

Alimentation sans OGM (selon les déclarations du producteur)

Soins aux animaux

Soin préventif pendant les périodes à risque

Transformation et ingrédients

Transformation dans mon atelier

Nutrition – l’agneau : riche en protéines

vue de la bergerie ferme dagobert
 
 

Présent toute l’année, l’agneau enchante particulièrement nos fêtes de Pâques et de Noël. L’agneau fait partie de la famille alimentaire des viandes poissons oeufs, essentielle dans le cadre d’une alimentation équilibrée pour son apport de protéines et de fer.

L’agneau : quels talents nutritionnels ?
L’agneau est une viande rouge riche en protéines. La teneur varie peu selon le morceau. Ce qui n’est pas le cas des graisses dont la teneur varie d’un morceau à l’autre parfois de façon importante (le gigot contient 6,29 g /100 g et les côtes premières 23,2 g/100 g). Sur le plan qualitatif, ces graisses sont pour moitié saturées, pour moitié insaturées.
La viande d’agneau est une bonne source de certaines vitamines et de minéraux ce qui en fait un partenaire précieux pour participer à la couverture des besoins de l’organisme en ces nutriments qu’il ne sait pas fabriquer.

 Ainsi, la viande d’agneau est une source de :
phosphore (2ème minéral le plus abondant dans l’organisme) qui joue un rôle essentiel dans la formation et l’entretien des os et des dents, avec le calcium.
fer, qui est nécessaire au transport de l’oxygène dans l’organisme et à la formation des globules rouges. Des apports suffisants sont particulièrement recommandés  en période de croissance, chez la femme (qui a des besoins supérieurs aux hommes) et pendant la grossesse. Ce fer est bien absorbé par notre organisme.
zinc qui intervient dans de nombreuses fonctions de l’organisme comme la perception du goût, la cicatrisation des plaies, la fabrication de l’insuline (hormone sécrétée par le pancréas qui permet une bonne utilisation des glucides apportés par l’alimentation).
vitamine B2 qui joue un rôle dans le métabolisme énergétique et contribue à la croissance et à la réparation des tissus.
vitamine B3 (ou PP) qui participe à la bonne utilisation des protéines, lipides, protéines, responsables de l’apport énergétique quotidien.
vitamine B12 qui intervient dans la formation des globules rouges.

Une portion de 100 g d’agneau =
128 kcal (gigot) à 232 kcal (côte filet)
Protéines = 16,4 à 17,8 g
Lipides (ou graisses) : 6,29 g (gigot cru) à 23,2 g (côte première)
Phosphore : 27,8 % (Gigot cru) des apports journaliers recommandés (AJR)
Fer : 9 % des AJR
Zinc : 18 % (côte première) à 38 % (côte filet) des AJR
Vitamine B1 : 16 % (gigot) des AJR
Vitamine B2 : 22 % (gigot) des AJR
Vitamine PP : 26,7 % (collier) à 40 % (gigot) des AJR
Vitamine B6 : 15 % des AJR
Vitamine B12 : 55 % (côte première) à 82 % (collier) des AJR

La viande d’agneau : pour qui ?
La viande d’agneau peut être consommée tant par les enfants que les parents et grands parents. La viande est  à introduire à partir dès 6 mois révolus, en respectant la fréquence (1 fois par jour) et les quantités conseillées. Pour favoriser l’éveil gustatif de votre tout-petit, alternez viandes blanches et viandes rouges.
Si vous êtes enceinte, veillez à bien cuire votre viande et évitez la viande rosée.
Si vous avez un excès de cholestérol, privilégiez les morceaux maigres comme le gigot, éliminez tout le gras visible et utilisez des matières grasses végétales pour la cuisson en limitant leur quantité. Ces mêmes conseils sont recommandés en cas de diabète.

Portions conseillées
Enfants
6 mois révolus – 8 mois : 10 g mixée
8 à 12 mois : 20 g hachée (4 cuillerées à café)
2 ans – 3 ans : 30 g (6 cuillerées à café) en menus morceaux
4 – 5 ans : 40 à 50 g en petits morceaux
12 ans : 100 g
Adultes : 100 g

La viande d’agneau : quels modes de cuisson privilégier ?
Les préparations culinaires avec de l’agneau sont très nombreuses. L’agneau est consommé dans le monde entier : outre nos recettes nationales comme le navarin, vous pouvez réaliser de nombreuses recettes inspirées des traditions culinaires indiennes, marocaines, tunisiennes…
Privilégiez les modes de cuisson qui utilisent peu de matières grasses : les grillades (sans les laisser trop brûnir) et mesurez à l ‘aide d’une cuillère les matières grasses que vous ajoutez pour votre cuisson.
Laissez libre cours à votre imagination : la viande d’agneau apprécie les associations avec les herbes (basilic, thym, romarin, sauge…), les épices, l’ail, la moutarde, le citron, le miel, ce qui favorise un fort potentiel créatif !
Pour les plats mijotés, comme le tajine ou le  ragoût, choisissez du collier, de la poitrine, du hauts de côte ou encore de l’épaule.
Avant de vous lancer dans la réalisation de votre recette, laissez-la quelques minutes à température ambiante avant de la cuire.
Si vous achetez une viande congelée, décongelez-la au réfrigérateur et faites-la cuire le jour même.

Pour un plaisir optimal
– lors de la cuisson au four, pensez à arroser régulièrement votre viande.
– servez votre viande d’agneau le plus chaud possible. Pensez à chauffer le plat de service et les assiettes.
– la grillade est conseillée pour les côtes d’agneau :  la viande, saisie, conserve ainsi son jus et ses sucs.
– ne la piquez pas pendant la cuisson avec une fourchette et utilisez une spatule pour la retourner.
– salez votre viande qu’au moment de servir.

Notre source : la table des enfants merci à Agnès Mignonac rendez vous sur son site la table des enfants, pour en apprendre à tout âge comme disait le papa de Tintin de 7 à 77 ans (ou 117 , génération web !!!)

En toute liberté pour une qualité “100% bio”

porc dans sa piscine

Actuellement, 3 lots d’une vingtaine de petits nés en Bio sont élevés sur la ferme.
Nous complétons nos naissances en achetant quelques porcelets au sevrage dans un élevage Bio des Hautes-Alpes.

Les cochons sont issus d’un croisement des races large white, landrace, piétrain, duroc.

Environ 8 à 12 cochons naissent par truie, tous les 8 mois.

Les truies mettent bas en extérieur, dans les cabanes rondes prévues à cet effet. Il s’agit de loges spécialement conçues pour la maternité et pour éviter l’écrasement des petits par la mère lors de ses retournements. A aucun moment la mère n’est entravée.

Une fois sevrés, les petits sont séparés de leur mère et vivent en permanence en extérieur. Ils disposent de loges paillées rondes (sur la colline au dessus du bâtiment) pour dormir.

Ils sont nourris de brisures de céréales Bio produites sur la ferme et achetées à des voisins et amis céréaliers : orges féverole, son, brisure de pois chiches, de lentille…etc

Le tout est broyé avant chaque repas une fois par jour.

Nos cochons cherchent également leur nourriture dans la colline (glands, vers, racines et herbe) ; en effet la notion de plein air n’est pas seulement constituée par de la « promenade ».
Cette part d’alimentation est importante dans l’équilibre de leur ration et c‘est la raison pour laquelle nous ne leur mettons pas d’anneau nasal

Les cochons restent en moyenne 12 mois sur l’exploitation avant d’être emmenés à l’abatoir (pour cela nous devons aller jusqu’à Die, le lundi matin et revenir chercher les carcasses le lendemain, soit 6 heures de trajet !).

Nous proposons également des caissettes de viande fraîche, directement à la ferme ou en livraison et vendons au détail notre viande de porc.

Surface
Potager au départ destiné à la famille puis étendu aux besoins de l’auberge.
 
Cultures

60 espèces cultivées à l’année

Culture en plein champ, culture en serre froide

Entretien des cultures

Utilisation d’engrais et de produits phytosanitaires biologiques

Plants et semences

Produits sur mon exploitation, approvisionnement auprès d’un fournisseur français
Semences biologiques

Transformation et ingrédients

Transformation dans mon atelier
Ingrédients produit sur mon exploitation
Ingrédients biologiques

ferme dagobert vue aériennela charcuterie jambon ferme dagobertfabrication des pates ferme dagobert

Le laboratoire, crée en 2014 et situé en face de l’auberge est destiné à la découpe de la viande et à sa transformation.

Nous y découpons agneaux et cochons.

La fabrication de la charcuterie s’étend d’octobre à mai.

Nous n’utilisons pas de sel nitrité et nos ingrédients sont issus de l’agriculture biologique.

Notre exploitation est contrôlée une fois par an pour le label BIO (anciennement AB) ainsi que pour le bien être animal.

Nous produisons des pâtes sèches à la farine de Petit Epeautre de Haute-Provence (Tagliatelles, torsades, rigatoni) que nous commercialisons en vente directe à la ferme ainsi qu’au magasin de producteurs
« La Biasse Paysanne » à Nyons, sur les marchés et foires et salons auxquels nous participons.

Petit Épeaute de Haute Provence (PEHP)

petit épautre de haute provence
Nous cultivons 3 à 5 ha de Petit Epeautre de Haute-Provence en IGP sur les plaines de Sainte-Jalle.

Cette céréale antique a été remise en avant grâce au travail de quelques agriculteurs il y a maintenant presque une vingtaine d’années. Qui sont les pionniers de la reconquête du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Ils ont œuvrés pendant plusieurs années auprès de la commission européenne à la création de l’IGP « Petit Epeautre de Haute-Provence » aujourd’hui reconnu et apprécié.

Ce label impose un cahier des charges de production aux agriculteurs (notamment une rotation des cultures, une altitude de minimum 400m, …) et garantit au consommateur un produit contrôlé et fiable. Le cahier des charges est consultable sur le site du Syndicat du Petit Epeautre de Haute Provence.

Pour bénéficier de l’IGP, les agriculteurs adhèrent au Syndicat du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Par ailleurs, il s‘avère que pour le Petit Epeautre de Haute-Provence la majorité des agriculteurs adhérents sont en Agriculture Biologique.

Nous proposons cette céréale en vente à la ferme et en ligne ainsi que cuisinée à l’auberge.

Depuis 2014 et la création du laboratoire de transformation, nous produisons des pâtes sèches à la farine de Petit Epeautre de Haute-Provence (Tagliatelles, torsades, rigatoni) que nous commercialisons en vente directe à la ferme ainsi qu’au magasin de producteurs
« La Biasse Paysanne » à Nyons, sur les marchés et foires et salons auxquels nous participons.

Petit Épeaute de Haute Provence (PEHP)

petit épautre de haute provence
Nous cultivons 3 à 5 ha de Petit Epeautre de Haute-Provence en IGP sur les plaines de Sainte-Jalle.

Cette céréale antique a été remise en avant grâce au travail de quelques agriculteurs il y a maintenant presque une vingtaine d’années. Qui sont les pionniers de la reconquête du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Ils ont œuvrés pendant plusieurs années auprès de la commission européenne à la création de l’IGP « Petit Epeautre de Haute-Provence » aujourd’hui reconnu et apprécié.

Ce label impose un cahier des charges de production aux agriculteurs (notamment une rotation des cultures, une altitude de minimum 400m, …) et garantit au consommateur un produit contrôlé et fiable. Le cahier des charges est consultable sur le site du Syndicat du Petit Epeautre de Haute Provence.

Pour bénéficier de l’IGP, les agriculteurs adhèrent au Syndicat du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Par ailleurs, il s‘avère que pour le Petit Epeautre de Haute-Provence la majorité des agriculteurs adhérents sont en Agriculture Biologique.

Nous proposons cette céréale en vente à la ferme et en ligne ainsi que cuisinée à l’auberge.

Depuis 2014 et la création du laboratoire de transformation, nous produisons des pâtes sèches à la farine de Petit Epeautre de Haute-Provence (Tagliatelles, torsades, rigatoni) que nous commercialisons en vente directe à la ferme ainsi qu’au magasin de producteurs
« La Biasse Paysanne » à Nyons, sur les marchés et foires et salons auxquels nous participons.

Nos brebis & agneaux


Actuellement notre troupeau comprend 300 brebis de race MOREROUS

La mourérous (« tête rousse » en provençal) est une race ovine des Alpes du Sud. Les éleveurs l’appellent communément « la rouge » par opposition aux races présentes dans la même zone, Préalpes du Sud ou Mérinos d’Arles. On la nomme également « Rouge de Guillaumes ».

Reconnaissable à sa tête et ses pattes rousses très caractéristiques, la Mourérous est plutôt grande et bien lainée.

• La mourérous a des origines partagées, et pourrait selon diverses hypothèses descendre de souches des Alpes et de souches issues d’Afrique du Nord.

Menacée de disparaître à un moment, la race est reprise en main à partir de 1977 par une action conjuguée entre l’Établissement départemental de l’élevage et la Fédération des éleveurs ovins des Alpes-de-Haute-Provence. Elle est maintenant sauvegardée.

• Elle connait un regain d’intérêt pour sa rusticité, sa résistance au froid comme à la sécheresse, son aptitude à la marche en montagne, son bon comportement maternel et sa bonne tolérance aux transitions alimentaires bergerie/pâturage.

• L’aptitude de la race à entrer en gestation pendant toutes les saisons de l’année (dessaisonnement) est souvent utilisée dans les élevages.

Notre troupeau pâture sur les collines de Rochebrune et les plaines de Sainte-Jalle, en système extensif, c’est à dire toujours en extérieur sauf conditions climatiques difficiles (les brebis craignent davantage les fortes pluies que le froid) et mise-bas. Alors seulement nous les rentrons en bergerie.

Notre troupeau est souvent divisé en plusieurs lots, selon differents paramètres : prêtes à mettre bas, en lutte (moment d’accouplement) ou jeune adulte…..

La surface de pâturage est d’environ 200 ha et est constituée de terres en propriété mais également de fermages ainsi que d’accords verbaux.

L’alimentation : pâturage ,fourrage, luzerne et orge selon leurs besoins : en gestation, allaitantes ou en « période de repos ».

En juin, tout le troupeau transhume sur les hauteurs de Valloire, en Savoie et y reste jusqu’en octobre. Il est alors gardé par les parents de Dagobert, qui veillent à les préserver du loup et à leur choisir le meilleur herbage.

La tonte de notre troupeau s’effectue une fois par an, au début du printemps, en mars.

Cette tâche est une affaire de famille car Dagobert, ses parents, son frère et deux de ses sœurs sont tondeurs de métier.
Ce moment de l’année est marqué par la convivialité et l’entraide et se termine toujours autour d’un bon repas partagé ensemble.
En France, la tonte se pratique à différents moments de l’année selon les régions et la gestion du troupeau.

La tonte reste destinée au bien-être animal. Quand elles restent en bergerie, les brebis une fois tondues sont plus à l’aise. C’est également la meilleure manière de réduire les parasites.

Élevage en plein air

Alimentation : provenance et caractéristiques

Alimentation à base d’herbe ou autres fourrages, alimentation à base de céréales
Produite sur mon exploitation

Alimentation sans OGM (selon les déclarations du producteur)

Soins aux animaux

Soin préventif pendant les périodes à risque

Transformation et ingrédients

Transformation dans mon atelier

En toute liberté pour une qualité “100% bio”

porc dans sa piscine

Actuellement, 3 lots d’une vingtaine de petits nés en Bio sont élevés sur la ferme.
Nous complétons nos naissances en achetant quelques porcelets au sevrage dans un élevage Bio des Hautes-Alpes.

Les cochons sont issus d’un croisement des races large white, landrace, piétrain, duroc.

Environ 8 à 12 cochons naissent par truie, tous les 8 mois.

Les truies mettent bas en extérieur, dans les cabanes rondes prévues à cet effet. Il s’agit de loges spécialement conçues pour la maternité et pour éviter l’écrasement des petits par la mère lors de ses retournements. A aucun moment la mère n’est entravée.

Une fois sevrés, les petits sont séparés de leur mère et vivent en permanence en extérieur. Ils disposent de loges paillées rondes (sur la colline au dessus du bâtiment) pour dormir.

Ils sont nourris de brisures de céréales Bio produites sur la ferme et achetées à des voisins et amis céréaliers : orges féverole, son, brisure de pois chiches, de lentille…etc

Le tout est broyé avant chaque repas une fois par jour.

Nos cochons cherchent également leur nourriture dans la colline (glands, vers, racines et herbe) ; en effet la notion de plein air n’est pas seulement constituée par de la « promenade ».
Cette part d’alimentation est importante dans l’équilibre de leur ration et c‘est la raison pour laquelle nous ne leur mettons pas d’anneau nasal

Les cochons restent en moyenne 12 mois sur l’exploitation avant d’être emmenés à l’abatoir (pour cela nous devons aller jusqu’à Die, le lundi matin et revenir chercher les carcasses le lendemain, soit 6 heures de trajet !).

Nous proposons également des caissettes de viande fraîche, directement à la ferme ou en livraison et vendons au détail notre viande de porc.

Surface
Potager au départ destiné à la famille puis étendu aux besoins de l’auberge.
 
Cultures

60 espèces cultivées à l’année

Culture en plein champ, culture en serre froide

Entretien des cultures

Utilisation d’engrais et de produits phytosanitaires biologiques

Plants et semences

Produits sur mon exploitation, approvisionnement auprès d’un fournisseur français
Semences biologiques

Transformation et ingrédients

Transformation dans mon atelier
Ingrédients produit sur mon exploitation
Ingrédients biologiques

ferme dagobert vue aériennela charcuterie jambon ferme dagobertfabrication des pates ferme dagobert Le laboratoire, crée en 2014 et situé en face de l’auberge est destiné à la découpe de la viande et à sa transformation. Nous y découpons agneaux et cochons. La fabrication de la charcuterie s’étend d’octobre à mai. Nous n’utilisons pas de sel nitrité et nos ingrédients sont issus de l’agriculture biologique. Notre exploitation est contrôlée une fois par an pour le label BIO (anciennement AB) ainsi que pour le bien être animal. Nous produisons des pâtes sèches à la farine de Petit Epeautre de Haute-Provence (Tagliatelles, torsades, rigatoni) que nous commercialisons en vente directe à la ferme ainsi qu’au magasin de producteurs « La Biasse Paysanne » à Nyons, sur les marchés et foires et salons auxquels nous participons.

Petit Épeaute de Haute Provence (PEHP)

petit épautre de haute provence
Nous cultivons 3 à 5 ha de Petit Epeautre de Haute-Provence en IGP sur les plaines de Sainte-Jalle.

Cette céréale antique a été remise en avant grâce au travail de quelques agriculteurs il y a maintenant presque une vingtaine d’années. Qui sont les pionniers de la reconquête du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Ils ont œuvrés pendant plusieurs années auprès de la commission européenne à la création de l’IGP « Petit Epeautre de Haute-Provence » aujourd’hui reconnu et apprécié.

Ce label impose un cahier des charges de production aux agriculteurs (notamment une rotation des cultures, une altitude de minimum 400m, …) et garantit au consommateur un produit contrôlé et fiable. Le cahier des charges est consultable sur le site du Syndicat du Petit Epeautre de Haute Provence.

Pour bénéficier de l’IGP, les agriculteurs adhèrent au Syndicat du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Par ailleurs, il s‘avère que pour le Petit Epeautre de Haute-Provence la majorité des agriculteurs adhérents sont en Agriculture Biologique.

Nous proposons cette céréale en vente à la ferme et en ligne ainsi que cuisinée à l’auberge.

Depuis 2014 et la création du laboratoire de transformation, nous produisons des pâtes sèches à la farine de Petit Epeautre de Haute-Provence (Tagliatelles, torsades, rigatoni) que nous commercialisons en vente directe à la ferme ainsi qu’au magasin de producteurs
« La Biasse Paysanne » à Nyons, sur les marchés et foires et salons auxquels nous participons.

Pour l’enlèvement à la ferme, il se fait le vendredi ou le samedi, sur rendez-vous.

Par mail : boutique@fermedagobert.com
Par SMS : 0609893149

Petit Épeaute de Haute Provence (PEHP)

petit épautre de haute provence
Nous cultivons 3 à 5 ha de Petit Epeautre de Haute-Provence en IGP sur les plaines de Sainte-Jalle.

Cette céréale antique a été remise en avant grâce au travail de quelques agriculteurs il y a maintenant presque une vingtaine d’années. Qui sont les pionniers de la reconquête du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Ils ont œuvrés pendant plusieurs années auprès de la commission européenne à la création de l’IGP « Petit Epeautre de Haute-Provence » aujourd’hui reconnu et apprécié.

Ce label impose un cahier des charges de production aux agriculteurs (notamment une rotation des cultures, une altitude de minimum 400m, …) et garantit au consommateur un produit contrôlé et fiable. Le cahier des charges est consultable sur le site du Syndicat du Petit Epeautre de Haute Provence.

Pour bénéficier de l’IGP, les agriculteurs adhèrent au Syndicat du Petit Epeautre de Haute-Provence.

Par ailleurs, il s‘avère que pour le Petit Epeautre de Haute-Provence la majorité des agriculteurs adhérents sont en Agriculture Biologique.

Nous proposons cette céréale en vente à la ferme et en ligne ainsi que cuisinée à l’auberge.

Depuis 2014 et la création du laboratoire de transformation, nous produisons des pâtes sèches à la farine de Petit Epeautre de Haute-Provence (Tagliatelles, torsades, rigatoni) que nous commercialisons en vente directe à la ferme ainsi qu’au magasin de producteurs
« La Biasse Paysanne » à Nyons, sur les marchés et foires et salons auxquels nous participons.

 PRODUCTION DE PORC EN POSE !!!

En raison de l’obligation de mise au normes très contraignantes et impactantes concernant les enclos des porcs plein air – nous devons faire des bunkers en triple clôture – nous sommes contraint de mettre en arrêt notre élevage de porcs. Nous ne savons pas si ces travaux seront possible au vu des contraintes topographiques de notre ferme.

Affaire à suivre..

Les produits de la ferme

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